• ✫ ✫ ✫ 4 JANVIER

    Dicton du jour :
    « Les hivers les plus froids, sont ceux qui prennent vers les Rois. »


    C'est arrivé un 4 janvier :
    1960 : L'écrivain français Albert Camus, âgé de 46 ans, perd la vie dans un accident de voiture. Particulièrement admiré des jeunes et des intellectuels, il avait reçu le prix Nobel de littérature en 1957.

    Albert Camus, né le 7 novembre 1913 à Mondovi, près de Bône, en Algérie, et mort le 4 janvier 1960 à Villeblevin, dans l'Yonne en France, est un écrivain, philosophe, romancier, dramaturge, essayiste et novelliste français. Il est aussi journaliste militant engagé dans la Résistance française et, proche des courants libertaires, dans les combats moraux de l'après-guerre.
    Son œuvre comprend des pièces de théâtre, des romans, des nouvelles, des films, des poèmes et des essais dans lesquels il développe un humanisme fondé sur la prise de conscience de l'absurde de la condition humaine mais aussi sur la révolte comme réponse à l'absurde, révolte qui conduit à l'action et donne un sens au monde et à l'existence, et « alors naît la joie étrange qui aide à vivre et mourir ».
    Sa critique du totalitarisme soviétique lui vaut les anathèmes des communistes et coupe les ponts avec Jean-Paul Sartre. Il reçoit le prix Nobel de littérature en 1957, sa réputation et son influence restent grandes dans le monde.
    Selon Bertrand Poirot-Delpech, les essais sur son œuvre ont abondé juste après sa mort, tandis qu'on rendait très peu compte de sa vie. Les premières biographies ne sont apparues que dix-huit ans après sa mort. Parmi celles-ci, la plus impressionnante est celle de Herbert R. Lottman, un journaliste américain observateur de la littérature européenne pour The New York Times et le Publishers Weekly.
    Dans le journal Combat, ses prises de position sont audacieuses, aussi bien sur la question de l'indépendance de l'Algérie que sur ses rapports avec le Parti communiste français, qu'il quitte après un court passage de deux ans. Camus est d'abord témoin de son temps, intransigeant, refusant toute compromission ; il est ainsi amené à s'opposer à Sartre et à se brouiller avec d'anciens amis. D'après Herbert R. Lottman, Camus n'appartient à aucune famille politique déterminée, bien qu'il ait été adhérent au Parti communiste algérien pendant deux ans. Il ne se dérobe cependant devant aucun combat : il proteste successivement contre les inégalités qui frappent les musulmans d'Afrique du Nord, puis contre la caricature du pied-noir exploiteur. Il va au secours des Espagnols exilés antifascistes, des victimes du stalinisme, des objecteurs de conscience.

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  • Commentaires

    1
    Lundi 4 Janvier 2016 à 13:35

    Bon matin ma belle ici il fait -30c brrrrrrrrrr

    merci pour ses magnifique chose que tu nous présente,j'espère que ta santé vas bien,passe une belle journée bibi Nick

    2
    Lundi 4 Janvier 2016 à 17:47

    et tu peux rajouter mort du dernier gendarme de st Tropez avec Galabru

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